Devenir chauffeur VTC est une opportunité attrayante, mais elle s’accompagne de responsabilités. Parmi celles-ci, la gestion des charges VTC est essentielle pour assurer la rentabilité de son activité.
Les frais de formation et de carte professionnelle
Avant de commencer à exercer, un chauffeur doit suivre une formation VTC agréée. Celle-ci permet d’acquérir les bases du métier, notamment en matière de sécurité routière et de réglementation. Cette étape représente l’une des premières charges VTC.
Ensuite, il faut obtenir la carte professionnelle. Cette démarche comprend le dépôt d’un dossier, la vérification du casier judiciaire et la présentation d’un permis B valide.
L’immatriculation du véhicule et les frais administratifs
Pour travailler en toute légalité, le véhicule doit être immatriculé selon les normes en vigueur. Ces formalités varient en fonction de la structure juridique choisie (auto-entrepreneur, SASU, EURL…).
Cependant, quel que soit le statut, ces démarches engendrent des charges VTC fixes à anticiper.
Les cotisations sociales et fiscales
Un chauffeur VTC est soumis à des obligations fiscales. Il peut choisir entre plusieurs régimes : le régime micro-fiscal simplifié ou celui de la déclaration au réel.
Le régime choisi influencera directement les charges VTC liées aux impôts et à la déclaration des revenus.
Il est donc crucial de bien s’informer pour limiter les mauvaises surprises.
Les frais de fonctionnement au quotidien
Les frais de carburant, l’entretien du véhicule, ou encore les péages font partie des charges VTC courantes.
Ainsi, chaque trajet effectué impacte les coûts globaux. Heureusement, certains de ces frais peuvent être déduits grâce au barème kilométrique.
Par conséquent, une bonne gestion permet de maîtriser les dépenses.
Les dépenses liées à l’assurance VTC
L’assurance est une charge VTC incontournable. Elle doit couvrir la responsabilité civile professionnelle, les dommages au véhicule et proposer une assistance efficace.
En effet, un incident non couvert peut engendrer des frais importants, voire une interruption de l’activité.
Les coûts annexes et variables
D’autres charges VTC peuvent s’ajouter selon les besoins :
-
location de véhicule
-
publicité en ligne
-
frais de plateforme pour les chauffeurs Uber ou Bolt
Ces éléments, bien que variables, influencent fortement la rentabilité de l’activité.
Rester à jour : la formation continue
La carte professionnelle doit être renouvelée tous les cinq ans. Pour cela, une formation continue est obligatoire. C’est une charge VTC périodique, mais nécessaire pour rester en règle.
Adapter ses choix à sa structure juridique
Chaque statut juridique influence les charges VTC. Une auto-entreprise bénéficiera de démarches simplifiées, mais sera limitée en chiffre d’affaires.
Une SASU permettra plus de flexibilité, mais engendrera des coûts de gestion plus élevés.
Optimiser ses charges VTC avec Orizon Assurance
Chez Orizon Assurance, nous accompagnons les chauffeurs VTC dans le choix d’une assurance sur-mesure.
Grâce à notre partenariat avec les plus grands assureurs, vous bénéficiez de garanties solides, à des tarifs compétitifs.
Notre équipe vous aide à réduire vos charges VTC en vous proposant une couverture parfaitement adaptée à votre activité.